Financement du projet « Ndamir »: Le Sénégal signe avec l’USAID une lettre d’exécution de 31 millions de dollars US
Le gouvernement sénégalais a signé ce mardi 23 mai, un accord avec l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), visant à financer la troisième phase du projet « Ndamir ». Ce projet d’un montant de 31 millions de dollars US, a pour objectif de réduire les décès évitables de mères et d’enfants. Mais aussi, de soutenir la mise en œuvre du programme national de lutte contre le paludisme (PNLP).
Le projet « Ndamir » vise également à améliorer la gestion des risques sanitaires grâce à des régimes d’assurance maladie communautaire. Cette troisième phase couvrira la période 2023-2026 et s’inscrit dans la nouvelle stratégie du bureau de santé de l’USAID.
Le gouvernement du Sénégal, a signé, mardi à Dakar, une lettre d’exécution avec l’agence des États-Unis pour le développement international (USAID) destinée au financement de la troisième phase du projet « Ndamir » pour un montant de trente-et-un millions de dollars US, soit environ 18,8 milliards de francs CFA.
Le Projet Ndamir vise à réduire le nombre de décès évitables de mères et d’enfants et appuyer la mise en œuvre du programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), en vue d’améliorer la prise en charge des risques sanitaires grâce à des régimes d’assurance maladie communautaire. Pour sa troisième phase, il couvre la période 2023-2026 de la nouvelle stratégie du bureau de santé de l’USAID.
Le ministre des finances et du budget, Moustapha Ba, s’est félicité du succès du « Projet Ndamir2 » qui, en fédérant le PNLP et le projet d’amélioration de la santé de la mère, de l’enfant et du système d’information sanitaire (PASMESSIS), a permis de renforcer les capacités des régions de Kaffrine, Kaolack et Ziguinchor dans la mise en œuvre d’interventions à haut impact pour la réduction de la mortalité maternelle, infanto-juvénile et néonatale.
Cette nouvelle phase du projet, soutenue par l’USAID, permettra de poursuivre ces efforts et d’étendre les interventions à d’autres régions du pays, dans le cadre de la lutte contre les problèmes de santé majeurs et la promotion du bien-être maternel et infantile.
Source – léral