Projet Provale – Cv

A peu près plus de 9700 et quelques aménagements hydroagricoles sur un objectif de 11 000 et plus de 600 périmètres maraîchers ont été réalisés en 2023 par le Projet de valorisation des eaux pour le développement des chaines de valeur (Provale-Cv). C’est ce qu’a annoncé hier, mardi 19 décembre, en marge de la cinquième session du Comité national de pilotage. Des résultats jugés satisfaisants, d’après l’équipe du projet, coordonnée par Younoussa Mballo.

L’avant-dernière session du Comité national de pilotage du Projet de valorisation des eaux pour le développement des chaines de valeur (Provale-Cv) s’est déroulée hier, mardi 19 décembre, à Dakar. Cette rencontre qui a réuni plusieurs autorités décentralisées, a été l’occasion pour l’équipe coordonnée par Younoussa Mballo de présenter les résultats obtenus au cours de l’année 2023, par rapport aux objectifs élaborés par le Comité de pilotage assuré par le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural. Des résultats jugés globalement satisfaisants, d’après le coordonnateur national du projet Provale-Cv.

Ainsi, en termes d’hectares, concernant les aménagements hydroagricoles, souligne le coordonnateur national de Provale-Cv, «On est à plus de 9700 et quelque sur un objectif de 11 000. La différence, c’est les travaux qui vont être réalisés cette année. Le processus a démarré, nous comptons le réaliser rapidement».

Dans le même registre, indique Younoussa Mballo, pour ce qui a trait aux périmètres maraîchers, «On est à plus de 600 ou 700 fermes réalisées et réceptionnées dans l’ensemble, sans compter les autres types d’infrastructures notamment les fermes aquacoles, les plateformes multifonctionnelles, les unités de transformation et tout ce qui concerne et tout ce qui l’accompagne qui a été assurée aux PME etc. Je pense que, quand-même, c’est des résultats assez importants», a-t-affirmé.

Avant de poursuivre, en termes d’investissements : «Aujourd’hui, si on comptabilise, on atteint à peu près 60 milliards de FCFA. On a un taux de décaissement de 66% globalement et on a des taux d’engagement de 95%».

Par contre, avec la deuxième et dernière phase du projet, Younoussa Mballo et Cie entendent combler le gap. «Nous pensons qu’avant la date de clôture, vraiment, nous pourrions atteindre les taux de décaissement qui dépassent les 90% et également les taux d’engagement qui vont faire 100%», a-t-il annoncé.

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